- La première consiste à apprendre des choses au sujet desquelles, en général, nous ne connaissons rien.
- La seconde, plus évidente mais si importante, offre la possibilité de rencontrer des personnes qui nous bouleversent, nous secouent, nous enseignent.
Zoom sur Cédric
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Accompagner quelqu’un dans la rédaction de son livre est un exercice formidable pour deux raisons.
C’est dans ce contexte que j’ai pu travailler avec Cédric Tempestini ✩✩✩ ฿. Cédric représentait un domaine dont j’ignorais tout : les cryptomonnaies. Son histoire est folle : Cédric était entrepreneur dans le sud de la France. Plusieurs salariés, une belle maison. Le rêve à la française de l’entreprenariat, avec tous les (faux) fantasmes qu’il peut y avoir derrière. Il venait de la classe moyenne, pas d’éducation financière ou entrepreneuriale particulière, des études en informatique.
En 2017, Cédric « tombe » dans les cryptomonnaies. Ça l’amuse, il s’éclate. Il mine ! Il investit, se forme, lit, rencontre mille personnes, échange à gauche, à droite.
En 2020, il réussit cette chose exceptionnelle, que l’on appelle le FUCK YOU MONEY (Expression américaine qui désigne la somme avec laquelle un individu est financièrement libre à 100 % car il peut vivre des revenus de son capital).
« J’avais plusieurs scénarios d’enrichissement, et l’un d’entre eux s’est concrétisé.
J’ai gagné plus en quelques mois de Bull Run qu’en 14 ans d’entrepreneuriat.
C’est juste dingue, irréel, je suis comme sur un nuage.
Je suis libre.
Libre de me consacrer à ce que je veux vraiment faire, libre d’aller vivre où je veux. »
J’adore son histoire, aussi parce que le Cédric en question est archi sympathique, mais aussi parce que j’ai plusieurs de ses anecdotes dans ma tête.
Alors, qui ressort transformé par le livre ? Le narrateur ? Le biographe ?
En 2017, Cédric « tombe » dans les cryptomonnaies. Ça l’amuse, il s’éclate. Il mine ! Il investit, se forme, lit, rencontre mille personnes, échange à gauche, à droite.
En 2020, il réussit cette chose exceptionnelle, que l’on appelle le FUCK YOU MONEY (Expression américaine qui désigne la somme avec laquelle un individu est financièrement libre à 100 % car il peut vivre des revenus de son capital).
« J’avais plusieurs scénarios d’enrichissement, et l’un d’entre eux s’est concrétisé.
J’ai gagné plus en quelques mois de Bull Run qu’en 14 ans d’entrepreneuriat.
C’est juste dingue, irréel, je suis comme sur un nuage.
Je suis libre.
Libre de me consacrer à ce que je veux vraiment faire, libre d’aller vivre où je veux. »
J’adore son histoire, aussi parce que le Cédric en question est archi sympathique, mais aussi parce que j’ai plusieurs de ses anecdotes dans ma tête.
Alors, qui ressort transformé par le livre ? Le narrateur ? Le biographe ?
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